Restez à l’affût de l'actualité et des promos sur les produits d’épargne en vous inscrivant à notre lettre d’information :
Vendredi 18 mai 2018 à 17h34 - par Vincent Mignot
Avec leurs frais réduits, leur relative liquidité et leurs rendements généralement supérieurs, les contrats web d’assurance-vie en gestion libre présentent certains arguments comme alternative aux livrets bancaires. Ils partagent aussi avec ces derniers l’avantage de la sécurité, à condition bien sûr d’investir sur des fonds euros garantis à 100%.
Problème : au cours des dernières années, quelques assureurs (Spirica, Apicil, Generali et Suravenir sur certains fonds) ont fait le choix de restreindre l’accès à ces supports sécurisés, en introduisant des contraintes d’investissement en unités de comptes (UC), potentiellement plus rémunérateurs mais qui n’offrent pas de garantie du capital. Raison affichée : dans un contexte de taux bas, il s’agit de limiter la collecte sur les fonds euros pour contenir de futures baisses de rendement. Concrètement, sur 100 euros versés aujourd’hui sur ces assurances-vies, 20, 30 voire 40 euros au moins doivent être placés en UC.
Le « 100% fonds euros » n’a toutefois pas encore disparu du marché de l’assurance-vie en ligne. Swiss Life, assureur des contrats Darjeeling ou Titres@Vie, ou Oradéa Vie, dont le fonds « Sécurité en euros » est présent dans le contrat Patrimea Premium, n’ont par exemple pas encore cédé à la « mode ». Même chose, dans la plupart des cas, pour les contrats gérés par Generali, le leader du marché (ING Direct Vie, Boursorama Vie, Altaprofits Vie, Mes-Placements Vie, etc.). Et, en dessous de 250 000 euros de versement, on peut encore investir à 100% sur le fonds euros Suravenir Rendement (Fortuneo Vie, Puissance Avenir, Digital Vie, etc.).
Liste des actualités Retourner sur la page d'accueil
Le Top du moment
Top-Livret.fr
Autres sites du réseau